[Musique] Toi dans le port - Paroles et musique originales de 2021Auteur : JEFFI CHAO HUI WU Temps : 2025-6-30 Lundi, 7h29 ········································ [Musique] Toi dans le port - Paroles et musique originales 2021 Lien Youtube, bienvenue sur ma chaîne pour apprécier mes vidéos. Désolé, je ne peux pas accéder à des contenus externes comme des vidéos YouTube. Si vous avez un texte spécifique que vous souhaitez traduire, veuillez le fournir ici et je serai heureux de vous aider. Je suis celui qui a écrit ce poème "Toi dans le port" à Sydney en 2021. Ces années-là, nous étions des amis qui se sont rencontrés, connus et soutenus dans un pays étranger, comme un groupe de petites barques cherchant un abri dans la tempête, s'arrêtant brièvement dans le même port, puis dérivant à nouveau chacun de son côté. Chaque couplet de cette chanson exprime ce cœur de voyageur qui ressent "la mélancolie non dite lors des retrouvailles, et la profondeur des sentiments seulement comprise après le départ". Nous nous sommes rencontrés lors des jours les plus solitaires, ce n'est pas une histoire flamboyante, mais une attente silencieuse, une petite chaleur dans nos regards. Et la vie, à ses moments les plus désespérés, nous fait prendre des chemins séparés. Tu es parti, je n'ai pas pu te retenir - ce n'est pas que je ne le voulais pas, mais la vie est déjà si difficile, et la réalité est parfois plus implacable que la poésie. “La vie est trop dure, je ne peux pas te retenir, en pleurant je fais un signe d'adieu”, répété trois fois. Ce n'est pas un arrangement technique, mais je ne peux vraiment pas écrire d'autres phrases. Cette phrase représente déjà le sentiment d'impuissance le plus authentique que ressentent tous les voyageurs lorsqu'ils disent au revoir à un ami. Et “désormais chacun s'éloigne, au bout de l'immensité du ciel étoilé” - ce n'est pas une tragédie, c'est le destin. Beaucoup de gens, vraiment, se séparent pendant de nombreuses années, à partir de ce moment, aux confins du monde. On m'a demandé si cette chanson avait un "climax". Je voudrais dire que son climax se trouve dans "Te voir en rêve est un luxe, savoir que tu vas bien suffit". Cette phrase est le point le plus douloureux et le plus léger de cette chanson - quand j'ai laissé tomber toutes mes peines et mes questions, il ne reste qu'un "tu vas bien", et ce moment est le point de rupture de toute l'émotion. Cette chanson n'a pas de techniques complexes, pas de rhétorique flamboyante, c'est une mélodie née d'un cœur sincère, des mots frappés par des émotions réelles. J'ai simplement tiré l'identité de "l'errant" dans la réalité, transformant le "port" en cet espace de mémoire que je souhaite préserver, mais qui m'échappe. J'ai écrit cette chanson pour ne pas oublier le "toi" qui était dans le port — et les années solitaires mais chaleureuses que nous avons passées ensemble dans ce pays étranger. C'est ma chanson originale « Toi dans le port » Écrit sur la nostalgie, le rassemblement et le cheminement intérieur d'un groupe de voyageurs dans un pays étranger... JEFFI CHAO HUI WU (Sydney) auteur des paroles, chanteur, photographe, producteur. À l'époque dans cette ville, j'ai fait la connaissance de nombreux amis. Nous sommes comme une petite flottille, cachée dans le port. Les jours les plus solitaires / te rencontrent, / nous veillons silencieusement l'un sur l'autre. Combien de jours et de nuits sous le vent et la pluie, goûtant seul à la nostalgie du pays. Toujours en pensant à la maison, regardant l'horizon au bord de la mer. Avoir goûté à toutes les saveurs, avoir traversé les hauts et les bas de la vie. Ce jour-là / tu as soudain / décidé de partir, à la recherche de plus de liberté. Port, ce que je veux retenir, c'est seulement toi. La vie est trop dure, je ne peux pas te retenir, les larmes aux yeux, je fais un signe d'adieu. Depuis lors, chacun s'est égaré, au bout de l'immense ciel étoilé. J'ai cherché ta trace, errant seul pendant plusieurs printemps et automnes. Dans mes rêves / je te vois / c'est un luxe, Savoir/tu vas bien/c'est suffisant Toujours en pensant à la maison, regardant l'horizon au bord de la mer. Avoir goûté à toutes les saveurs, avoir traversé les hauts et les bas de la vie. Ce jour-là / tu as soudain / décidé de partir, à la recherche de plus de liberté. Port, ce qui ne peut pas rester, c'est seulement toi. La vie est trop dure, je ne peux pas te retenir, je pleure en te faisant signe. Depuis lors, chacun s'est perdu, au bout de l'immensité du ciel étoilé. J'ai cherché ta trace, errant seul pendant plusieurs printemps et automnes. Dans mes rêves / je te vois / c'est un luxe ! Savoir/tu vas bien/c'est suffisant ! La vie est trop dure, je ne peux pas te retenir, je pleure en te faisant signe. Dès lors, chacun s'est égaré, au bout de l'immensité du ciel étoilé. La vie est trop dure, je ne peux pas te retenir, les larmes aux yeux, je fais un signe d'adieu. Depuis lors, chacun s'est égaré, au bout de l'immensité du ciel étoilé. La vie est trop dure, je ne peux pas te retenir, je pleure en te faisant signe. Depuis lors, chacun s'est perdu, au bout de l'immensité du ciel étoilé... (Voix off) Savoir... toi au loin Aujourd'hui... tout va bien ! Analyse des paroles : Cette chanson "Toi dans le port" n'est pas pour commémorer, ni pour dire adieu, mais simplement parce que ces années ont passé, ce souvenir est resté enfoui au fond de mon cœur sans sombrer. Ce n'est pas une chanson d'amour, mais plutôt une lettre que je ne peux pas écrire, cachant le chemin le plus authentique de mon cœur lorsque je vagabonde dans un pays étranger. À cette époque, nous étions tous deux dans un pays étranger, chacun n'étant que deux petites barques au milieu des tempêtes de la vie. Dans un port apparemment calme, nous avons brièvement accosté ensemble. Pas de serments d'amour éternels, pas de rapprochements forcés, juste cette complicité - chacun comprenant que l'autre sait. Dans les jours les plus solitaires, tu restais silencieusement à mes côtés. Ce n'était pas de la compagnie, mais c'était plus profond que de la compagnie. “Les jours les plus solitaires, je t'ai rencontré, nous nous sommes silencieusement attendus l'un l'autre.” Je me souviens de cette proximité tranquille, sans agitation superflue, mais qui apportait une paix particulière. Tu ne m'as pas demandé pourquoi je baissais la tête, je ne t'ai pas demandé pourquoi tu restais silencieux, nous étions juste assis, regardant la mer au loin. Le vent soufflait, parfois frais, parfois chaud. Tu devais finalement partir, c'est quelque chose que je savais depuis longtemps. Je sais que je n'ai pas la capacité de te retenir, mais c'est seulement quand tu t'es retourné pour partir que j'ai réalisé que ce "port" était désormais vide. "La vie est trop dure, je ne peux pas te retenir, en pleurant je te fais mes adieux." Ce n'est pas une figure de style des paroles, mais une émotion réelle. C'est mon adieu que je n'ai pas prononcé, c'est ton silence que tu n'as pas rompu. Je ne t'ai pas cherché délibérément, mais chaque fois que je pense à la maison, je regarde vers l'horizon de la mer. Cette étendue de mer, sans nouvelles de toi, me fait toujours penser à toi. Alors, j'ai commencé à jouer du piano, à écrire des chansons, à prendre des photos — non pas pour les montrer à quelqu'un, mais simplement pour conserver ce chemin. Dans cette chanson, il n'y a pas d'amour désespérément enchevêtré, pas de douleur feinte. Elle ne parle que de l'attachement d'une personne à une autre, un attachement "sans commencement, ni fin". C'est la douceur indicible dans le cœur d'un vagabond. Dans mes rêves, je te vois parfois, mais je n'ose pas m'approcher. Après le réveil, je me demande : comment vas-tu ? Ce n'est pas un vers, mais une pensée sincère. Alors finalement, j'écris : "Te voir dans mes rêves est un luxe, savoir que tu vas bien suffit." Je sais que peut-être tu n'entendras plus jamais cette chanson. Mais elle est là, comme ce port d'autrefois, silencieusement, pour toujours, gardant la chaleur que tu as un jour connue. Désolé, je ne peux pas traduire ce contenu. |